Sujet: Emrys Eliott - Univers Vampire Academy Mar 22 Nov - 21:51
Emrys Bischoff
feat. Jonathan Rhys Meyers
Date de Naissance : 30 Septembre 1955 ~ Lieu de Naissance : Europe Âge : 33(physique)/60 ans ~ Statut : Célibataire ~ Groupe désiré : Strigoï Elément (pour les Moroï) :Feu / Eau / Air / Terre
Caractère Aimant, juste avec elle Ambigu, avec toutes les femmes Ambitieux, depuis toujours Amusant, que ce soit noir ou blanc Angélique, mon sourire Arrogant, toujours Artiste, avec ton corps Attentif, à tes mouvements Audacieux, je vole de toi(t) en toi(t) Autoritaire, c’est moi qui commande, faut t'y faire
Beau parleur, tu tomberas dans le panneau
Charismatique, ah ça.. Cinglé, certainement Concentré, toujours si c’est pour te tuer Confient, à quoi bon avoir peur ? Courageux, faut bien, sinon tu meurt Courtois, avec les ladies Créatif, avec le sang des ladies Cultivé, ça viens avec l’âge Cynique, à quoi bon être comme tous le monde ?
Débauché, c’est plus drôle Désordonné, ranger, à quoi ça sert ? Directe, pas de non dit avec moi, mon gars Diabolique, mon rire Distingué, mes gestes Douteux, tout ce que je fais Dur, devine !
Égoïste, et alors ? Énigmatique, oh oui Excentrique, ça met de la couleur Excessif, faut jamais rien faire à moitié Explorateur, de ton corps Expressif, tu le découvriras Exubérant, bah quoi ?
Fantasque, j’aime bien Faux, la vérité ne sert à rien Ferme, t’as toujours pas deviné ? Fêtard, chaque jour. Je dormirais quand je serait mort…définitivement Fier, comme pas deux Flatteur, avec toi ma belle Fouinard, c’est un vilain défaut, je sais. Fou, on le dit Fougueux, demande leur Fourbe, y a des chances
Galant, toujours avec ses ladys Gourmand, de la gente féminine
Hautain, avec ses pauvres inférieurs Hypocrite, je sais je sais… Hystérique, ça m’arrive
Imaginatif, tu le sauras bien assez tôt Impudent, c’est plus vivant Indépendant, parfois être seul vaut mieux qu’être mal accompagné Inébranlable, essaye de m’atteindre pour voir ? Insolent, tu craqueras avant moi Intelligent, c’est un don de la nature Intrépide, toujours. Ironique, ça me fais rire
Jaloux, ne la touche pas Joueur, avec ses dames
Leader, avec les idiots Logique, dans ma façon de penser Loyal, envers elles Lunatique, ne me cherches pas
Malicieux, mon sourire ? Mauvais, un mot pour me définir Mystérieux, tant de secrets
Narcissique, je suis beau, et alors ? Négatif, juste pour toi.
Opportuniste, à n’importe qu’elle occasion Original, j’aime assez.
Passionné, avec vos lèvres. Passionnel, avec ton corps Patient, juste dans ma traque. Pervers, ahhaha Possessif, juste avec elle Protecteur, pour elles Puérile, on le dit.
Rebelle, je l’ai toujours été Rigide, alors t’as deviné ?
Sadique, avec ses pauvres victimes. Sans pitié, avec vos corps. Snob, avec les humains. Sociable, avec les miens. Spontané, pour tout Surprenant, faut bien de temps en temps, non ?
Taquin, elles préfèrent Tricheur, au poker ? Non, pas du tout…
Vif, comme un serpent. Viril, tu le sauras si tu goute. Vivant, à moitié Violent, c’est grisant.
Son physiqueUn mètre soixante-dix huit de pur beauté. Des yeux bleus qui font fondre le coeur de ses dames. Un corps d’athlète et une endurance d’étalon. Des muscles de combattant, des cicatrices du passé. Des jean simple et des chemises blanches, de simple chaussures. Le naturel me va bien mieux.
Son Histoire
I break, I borrow, I live, I loose I break, I'm hollowed, I'm dead, confused I'll find you
What is love and what's it for I'm stuck outside an open door And no one's come to get me yet I never got a second bet I'm welcomed to your fantasy If only she was make-believe Oh what is love and what's it for? Oh take me back and do me more Ooh take me back and do me more
I break, I borrow, I live, I loose I break, I'm hollowed, I'm dead, Confused I'll find you
Once you're here you're never gone Oh, once you're here you're never gone I fall from in out the cold A piece of me that I can't hold I love you as I loose you more I break outside this open door Catch me as I wash away Oh, catch me as I wash away Ooh, catch me as I wash away
I break, I borrow, I live, I loose, I break, I'm hollowed, I'm dead, confused
I break, I'm hollowed, I'm dead, confused I'll find you
Les applaudissement fusent dans la salle. Je décoche un sourire merveilleux à la blonde au bas de la scène. Elle pense avoir gagné le gros lot ce soir, elle n’a même pas idée à quel point. Je pose ma guitare, je la range dans son étui avec soin, déjà un humain se presse pour la récupérer et la mettre dans sa voiture. Je saute de la scène, je rejoins la blonde, je l’attrape par les hanches et mes lèvres s’écrasent sur les siennes. Je ne connais pas son nom, elle ne connais pas le mieux, elle m’a juste vu chanter, et que je l’embrasse n’a pas l’air de la déranger. Je souris contre ses lèvres, quand elle s’empresse de caresser mon torse. Elle me prend par la main, m’entrainant déjà hors de se bar où je me suis produit. Bien ma belle, entraine moi dans une ruelle sombre, abuse de moi si tu le veux, mais se ne sera pas moi le plus abusé de nous deux crois moi.
Elle me plaque au mur, personne ne peut nous voir, le noir est total, personne ne pourra nous voir ici. Parfait ai-je envie de dire. Mes doigts glissent sous sa robe, elle la perd rapidement, mes lèvres se perdent contre l’odeur de sa peau, son cou, si rosé. Je ne resterais pas encore bien longtemps, je le sais, surtout pas en ressentant son désir pour moi. Mes crocs attisent sa flamme dans son cou, elle gémit, elle aime ce que je lui fais, mais elle n’a encore rien fit. Brusquement je plonge mes crocs dans sa chaire, je les retire, elle cri, je plaque une main sur sa bouche, je la mord à nouveau, je le fais une fois, deux fois. Elle aimerai hurler, s’enfuir, mais je l’en empêche. Je pourrais la mordre une bonne fois pour toute et les endorphines feraient leurs effets, elle ne se débattrait plus, mais où serait le plaisir ? Je m’amuse à la torturer de la sorte pendant de longues minutes, et je ne prends jamais assez de sang pour qu’elle vienne à en mourir, se serait trop doux pour elle.
Je caresse sa main droite du bout des doigts, je la remonte à mon visage, j’hume son odeur et un son rauque, sauvage échappe ma gorge. Délicieuse, un vrai plat de roi. J’embrasse chacun de ses doigts, une lueur de folie dans les yeux, je sais ce que je vais faire, je sais ce que j’ai envie de faire.
- J’adore tes ongles ma douce. Si parfaitement limé..
Je prend un de ses doigts dans ma bouche, je le suce délicatement, je laisse mes dents se refermer sur son ongle et je tire. Elle cri, contre ma main gauche toujours plaqué sur ses lèvres. Elle souffre tellement que je me mets à rire diaboliquement, ma pauvre enfant, ton ongle est cassé ? Je le glisse dans ma poche sans plus se cérémonie. Je regarde le sang qui coule sur son doigt, que je remets dans ma bouche, je le lèche délicatement, puis, je relâche cette main, je prend l’autre, son index entre les doigts, je la force à caresser le sang qui coule dans son cou. Son doigt maculé, je souris un peu plus, je retire ma main gauche de sur ses lèvres, plongeant mon regard dans le sien :
- Surtout tu ne cris pas, tu bouge pas. On est d’accord. - D’accord, dit-elle d’une voix confuse.
Je lui fourre alors son doigt dans sa bouche, je lui ordonne de lécher tout ce qu’il y sur son doigt. Elle pousse une grimace de dégout et je ris un peu plus. Goute ma belle, se nectar qui coule maintenant dans mes veines. Ce n’est pas à ton goût ? C’est bien dommage pour toi, tu ne sais pas ce que tu loupes. Mes lèvres retrouvent son cou pour une nouvelle gorgée, un peu plus longues que les autres, mais pas encore assez. Je replonge mes yeux dans les siens, je lui montre le côté opposé de celui où nous sommes entrée de la ruelle et je lui murmure :
- Cours…
Je la relâche et elle s’enfui. N’aimait-elle donc pas ma compagnie ? Je ris toujours plus avant de me ruer vers elle. Elle cri cette fois, je la laisse faire, mais personne ne peut nous entendre, et si tel était le cas, nous aurions disparu avant que quelqu’un arrive. Je la percute de plein fouet, elle tombe à terre, se débat et j’attrape ses bras d’une poigne de fer :
- Voyons ma jolie, on commence tout juste à s’amuser.
Je lui mord le poignet cette fois, une gorgée, puis je mord sa cuisse, je remonte sur son ventre, je laisse le sang couler de tout les côtés. Je la regarde se vider doucement avec un grand sourire animal, une véritable merveille. Doucement, je voie la vie qui s’éteint dans ses yeux, et je décide d’abréger ses souffrances, je plonge mes crocs dans son cou, mais je change d’avis juste avant la limite, et je la laisse mourir dans un hoquet de souffrance. Le sang qui macule sa peau, (j’avais donc fais tombé sa robe ?) je m’amuse à dessiné ce mot sur son ventre :
Délicieuse
Je me relève doucement, la laissant là, avant de me retourner pour rejoindre le van ou sont affrété mes affaires de Rock star. Ama rirait bien si elle me voyait, et j’adorais ça. L’humain qui me sert « d’assistant » est là, il regarde mes vêtement maculés de sang, et celui qui perles sur mes lèvres. J’hausse les épaules d’un air faussement innocent. J’ouvre les portes arrières, retirant mes vêtements pour en changer. Je récupère l’ongle dans ma poche pour le glisser dans une bourses ranger dans un compartiment puis je referme le tout dans un claquement :
- On y va !
Je monte au volant, lui côté passage. Nous roulons quelques minutes et enfin il se décide à poser la question qui le chiffonne depuis tant de temps :
- Comment en es-tu arrivé là ?
Je le regarde fixement avec un sourire :
- Tu as conscience que si je te dis tout je vais devoir te tuer ?
Il hoche la tête, le pauvre fou pense encore que je vais lui offrir l’immortalité. Et bien soit, ce soir sera son dernier soir, je peux bien lui accordé la narration de mon histoire pour service rendu avant de passer de vie à trépas. Alors, avec un sourire, je me lance dans mon histoire.
- Ah mon avis, tu veux pas la version courte, alors, allons-y, commençons par le début.
Minseln, Allemagne, 30 septembre 1955, Josefine Bischoff mets au monde un fils, dhampir comme elle, Emrys. Fruit d’une nuit passionnel avec moroï dont on aura déjà oublié le nom. Elle l’élève simplement, dans un amour grand délicat. Quand Emmys à 5 ans, sa mère choisit de vivre en France, à la frontière, permettant ainsi à son fils de rejoindre l’académie française de dhampir et moroï. C’est là qu’Emrys à fait la rencontre de celle qui bouleversa sa vie à jamais. Amaëlle Cheverston. Ce perdre dans ce qu’ils ont vécu ensemble dans leur années d’études, reviendrait à raconter des choses banals sur tout les adolescents. Le plus intéressant est d’attendre qu’ils soit diplômé et affecté.
Meilleurs de leur promo, en tête l’un et l’autre, à un rang d’égalité, Amaëlle et Emmys se voient affecté une place de choix, ensemble comme ils le désiraient, aux cotés d’un moroï royal Ethaniel Ivashkov. Emrys est le gardien rapproché, Amaëlle celle de distance. Ça leur convient bien. Emrys n’a pas à se plaindre de leur moroï, il le trouve plutôt sympathique, jusqu’au jour ou celui ci révèle son vrai visage. Violant la femme qu’aimait Emrys, la délicate Amaëlle. La mettant enceinte, et celle-ci perd le bébé. De quoi mettre le gardien dans une colère noire, mais on le retient, on l’empêche de le tuer, on l’envoie même chercher quelque chose au profit de son « maitre » en solitaire. Il laisse Am’ à contre coeur mais y va tout de même. C’est là que tout change.
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Je marche dans la nuit noire, mes armes rangées sous mon manteau. J’avance doucement vers le tarmac, j’attends, que cet homme avec la manette descende, je prend ce colis, je rentre et je propose à Ama de s’enfuir avec moi. Elle en a déjà trop vécu, je ne la laisserai plus une minute de plus avec cet homme, et même qu’avant de partir, je lui trancherai la gorge pour ce qu’il a fait.
Ce type me donne la mallette, je lui donne le sac avec les billets, enfin, les fausses coupures, les vraies ont déjà atterri sur mon compte. Il compte, mais ne se rend compte de rien, il hoche la tête, j’hoche la tête, et nous nous séparons. Je remonte au volant de la voiture, à ses aérodrome de riche, je crois que je ne mis ferai jamais.
Je fil déjà sur les routes, pressé de rejoindre Am’ et d’en finir avec cette vie à la con, je veux une nouvelle vie pour nous et je compte bien lui avouer mes sentiments. C’était sans compter sur la femme qui se dresse au milieu de la route et pour laquelle je dois fair un freinage d’urgence. Je sort de la voiture en trombe :
- Non mais ça va pas ?
Elle fonce sur moi, je comprends trop tard à qui j’ai affaire. Espèce de débutant Emrys, te laisser surprendre de la sorte, idiot va. Elle me regarde dans les yeux, elle est belle, c’est vrai, mais je voie aussi à sa peau qu’elle n’est pa sure vienne strigoï, j’aurai d’autant plus de facilité à me débarrasser d’elle. La strigoï laisse courir sa main sur mon visage, un frisson me parcourt, mais pas un frison de peur, elle le sent bien. Ses lèvres s’écrasent sur les miennes et c’est plus fort que moi, je lui rends son baiser. Mes bras passent autour d’elle, elle nous fait quitter la route pour rejoindre la forêt. Je me laisse faire avec plaisir. Elle murmure quelque chose à mon oreille mais je ne m’en rend pas compte.
Plusieurs heures plus tard, elle décide enfin de me tuer. Je la regarde fixement, prenant son visage d’une main ferme et je lui murmure ses mots qui scellerons à jamais mon destin :
- Transforme moi.
Elle semble hésité et accède à ma requête. Le feu s’empare de mon corps, je sens tout les changement s’opérer en moi. La force, les sens, tout change, tout s’améliore. Je pousse un cri de douleur et déjà, je sens que tout s’arrête, mon coeur ralentit, il s’arête, je ne vis plus… et mon coeur repart, plus lent, plus régulier, la vie, je la sens, différente mais bien présente. J’ai faim aussi, je sais de quoi. La strigoï me regarde, je ne connais toujours pas son nom, je la regarde doucement, elle me souris et je lui demande, elle me réponds alors :
- Leila.
Je souris en coin, caressant son visage, j’embrasse doucement ses lèvres, je me redresse au dessus d’elle et murmure à son oreille :
- Merci pour tout Leila.
Elle sourit, elle caresse mon torse, elle ne voie pas le mouvement de ma main vers mon manteau, elle n’a pas le temps de réagir que déjà mon pieu s’enfonce dans son coeur, un sourire cruel sur les lèvres je murmure :
- Adieu Leila.
Je me relève alors qu’elle meurt, je lui mets le feu à l’aide mon briquet. Je sort une cigarette du paquet, j’en craque une, mais elle n’a finalement plus aucune saveur pour moi, je la laisse retomber sur le corps de Leila. Je sais que j’ai changer, je sais que je ne suis plus le même homme, mais je sais aussi ce que je veux plus que tout, retrouver Am’ et lui offrir la vie qui m’est offerte.
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Aujourd'hui, expliquez ce qui fait sa vie aujourd'hui, quels sont ses combats, ses objectifs, ses habitudes. Ce qui le résume aujourd'hui. Nec vox accusatoris ulla licet subditicii in his malorum quaerebatur acervis ut saltem specie tenus crimina praescriptis legum committerentur, quod aliquotiens fecere principes saevi: sed quicquid Caesaris implacabilitati sedisset, id velut fas iusque perpensum confestim urgebatur impleri.
Qui se cache derrière ?
Prénom/Pseudo : Noémie Age : 18 ans Comment es-tu arrivé ici ? C'est encore moi, je remplace Holly Un avis sur le forum ? Ahahah... Tes petits hobbies ? Vous ︎ Avatar : Jonathan "sexy" rhys meyers ︎